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 NEGOS ET ARTICLE SUR LE PROCHAIN TEKOS DE BRETAGNE

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jant
Il me fo kelke chose de + fort
jant


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NEGOS ET ARTICLE SUR LE PROCHAIN TEKOS DE BRETAGNE Empty
MessageSujet: NEGOS ET ARTICLE SUR LE PROCHAIN TEKOS DE BRETAGNE   NEGOS ET ARTICLE SUR LE PROCHAIN TEKOS DE BRETAGNE Icon_minitimeMar 13 Juin - 12:10

Au debut des reunions prefs pour ce tekos le prefet avait envisage de louer la terre a des paysans qui seraient d'accord et que si il n'en trouvait pas ils requisitionnerait. Les Sound Systems avaient alors demande l'aerodrome de vannes - meucon. Le refus avait toujours ete categorique.

Hors on apprend plus tard que le maire de Vannes est un ministre.

Mais il est proche de De Villepin.

Resultat Sarkozy apprenant cela (il semblerait que l'info est ete remontee par Target lors d'une reunion privee il y a peu), decide que ce sera sur l'aerodrome de Vannes.

Bref encore une fois on se retrouve au milieu d'un jeu politique de merde....

Voici les articles de vendredi, samedi, dimanche et lundi:


vendredi 9 juin 2006

Au bout de la piste, l'inquiétude grandit


Viendra, viendra pas le Teknival ? Les usagers de l'aérodrome veulent
savoir. Ils étaient réunis hiersur le site. Ambiance tendue... (Lire aussi
en page 6)

« A l'heure actuelle, nous ne sommes pas officiellement informés », déplore
Roland Auradou, président de l'école de parachutisme sportif de
Vannes-Bretagne. C'est la foule des grands jours aux abords de l'aérodrome.
Il est presque 21 h, jeudi, et cent cinquante personnes sont venues chercher
des informations sur le lieu du prochain Teknival. On discute dans tous les
coins. Et les rumeurs vont bon train. « Le préfet est passé ce matin, on
sait que des réunions préparatoires ont lieu, alors qu'on ne vienne pas nous
dire que la rave ne se fera pas à l'aérodrome », tempête un usager.

« L'aérodrome est une infrastructure à la disposition de l'ensemble de la
population. Pourquoi arrêterait-on pendant trois semaines le fonctionnement
d'un service public pour organiser une rave géante · », s'interroge Roland
Auradou. Trois semaines ? « C'est le temps d'interruption nécessaire à la
préparation, l'organisation de la rave party, et la remise en état des
infrastructures. Les estimations parlent d'une période de vacance qui
pourrait aller du 24 juin au 13 juillet. »

Trois semaines de chômage technique, aussi, pour 25 salariés qui vivent
autour de l'aérodrome. « C'est la preuve que l'État est en faillite, confie
un fonctionnaire d'État qui préfère taire son nom. C'est absurde : on
empêche à l'économie locale de fonctionner. Ici, il y a du trafic aérien,
des transits de personnalités qui viennent en cure dans le Morbihan, et tout
cela génère une rentrée d'argent pour la région. Et là, on stoppe tout
pendant trois semaines ! »

« J'ai les oreilles qui sifflent »

Un particulier se demande si tout cela est bien légal. « Un aérodrome ne
peut être réquisitionné que pour un fait de guerre, assure cet ancien
militaire qui habite à Kersimon. Invalide à 80 %, j'ai les oreilles qui
sifflent. Après la rave, je n'entendrai plus rien ! » Il évoque aussi
l'aspect environnemental : « On se trouve dans une zone de captage des eaux.
Le préfet nous interdit l'utilisation de désherbants, de stocker des herbes
coupées, et de détenir des animaux en liberté. Et là, on nous balance 9 000
chiens en liberté qui vont déféquer sur le terrain ! Où est la logique · »

Du côté de l'Étrier vannetais, l'inquiétude est là. « On est obligé de
fermer le club et de déménager nos chevaux, raconte Étiennette Roberton,
présidente du club. Et vous savez quoi · On nous a proposé de les
tranquilliser pendant quatre jours. Et puis quoi encore · » Entre les
particuliers, le poney club et l'Étrier vannetais, le site accueille une
centaine de poneys et chevaux qui vont devoir partir. Mais où ? La question
n'est pas tranchée. « La direction des services vétérinaires nous dit qu'il
faudrait les emmener au haras d'Hennebont. Sauf que là-bas, ils ne sont pas
au courant », explique la responsable du poney club. Un Teknival qui reflète
une véritable cacophonie au sommet de l'État (lire en page 6), avec des
répercussions au plan départemental : « On a appelé la préfecture ce soir,
vers 17 h 45, on nous a répondu qu'ils cherchaient toujours un terrain. Ils
se moquent de nous ! »

Arnaud WAJDZIK.

Une réunion informelle a eu lieu hier soir aux abords de l'aérodrome de
Vannes-Meucon. Le site pourrait être retenu pour accueillir le futur
Teknival breton. Même si selon le ministère de l'Intérieur, les recherches
se poursuivent...



samedi 10 juin 2006

Teknival : « Matignon va arbitrer »


François Goulard répète que rien n'est décidé pour le Teknival. Au ministère
de l'Intérieur, on maintient le choix de l'aérodrome à « 99 % ».

Au ministère de l'Intérieur, hier, en fin d'après-midi, on était formel :
« Pas de réunion interministérielle sur le sujet. Ni de réunion technique. »
Ni hier, comme l'annonçait François Goulard (Ouest-France d'hier), ni dans
les jours à venir. « A 99 %, le lieu du Teknival reste bien l'aérodrome,
comme l'a annoncé Brice Hortefeux au Sénat. » Et le 1 % ? « Au cas où on
trouverait une meilleure solution, d'ici au 15 juin. » Au cas où...

Malheur à ceux qui voient dans le dossier du Teknival des règlements de
compte entre pro-villepinistes et pro-sarkozystes. Le ministre de la
Recherche et de l'Enseignement supérieur balaye l'objection d'un revers de
main : « Je n'ai strictement aucun conflit avec le ministre de l'Intérieur,
d'aucune sorte, dans aucun dossier. Ce dossier du Teknival n'est pas parti
de Paris, c'est un dossier qui vient du Morbihan. Il ne faut pas inverser
les circuits. » Et François Goulard ne désarme pas : pour lui, rien n'est
décidé. « Il ne faut pas prendre au pied de la lettre la déclaration
d'Hortefeux au Sénat. Je vous confirme que l'on recherche d'autres sites
dans le Morbihan ou ailleurs. »

Cacophonie ? « A mon avis, un certain nombre d'erreurs d'appréciations
techniques ont été commises sur le terrain. C'est la raison pour laquelle je
suis intervenu au plus haut niveau pour qu'une décision ne soit pas prise à
la va-vite. » Il n'empêche : ce concerto à deux voix exprime deux versions
très différentes. François Goulard relativise. « La vie quotidienne des
ministères, c'est que l'on puisse avoir des avis divergents et un arbitrage
de Matignon. » Au cabinet de Nicolas Sarkozy, on rappelle que « jusqu'à
présent, Matignon n'a pas dit son opposition » au site de l'aérodrome.

« On réétudie le dossier »

Et le calendrier ? Restant très évasif, François Goulard reconnaît que «
s'il doit y avoir quelque chose, ce sera au début de l'été. Mais il se peut
très bien qu'il n'y ait pas de rave party. On réétudie le dossier, point. »
Le premier adjoint ne s'oppose pas au principe du Teknival, mais pas à
Monterblanc et sous condition : « Il est tout à fait légitime pour l'État de
tenter d'encadrer de telles manifestations. Cela permet de prévenir certains
inconvénients. Mais pas dans n'importe quelles conditions et en faisant
abstraction d'intérêts légitimes de la population concernée. Le site de
Vannes-Meucon est particulièrement mal choisi. » Réponse sous une semaine.

Éric de GRANDMAISON

et Nicolas SOURISCE.

L'aérodrome de Vannes-Meucon: « A 99 %, le lieu du Teknival reste bien
l'aérodrome », assurait-on hier au ministère de l'Intérieur.




dimanche 11 juin 2006


L'unanimité contre le teknival à Meucon




Venus inaugurer hier une école à Monterblanc, plusieurs élus ont été chahutés par 500 manifestants hostiles au teknival sur l'aérodrome de Vannes-Meucon.
Hier en fin de matinée, le centre de Monterblanc, aux portes de Vannes, avait des allures de camp retranché. Autour de leurs tracteurs disposés en quinconce pour filtrer la circulation sur les différentes routes, plusieurs dizaines d'agriculteurs attendaient les élus de pied ferme. Plus loin, ce sont des centaines de parents d'élèves, d'usagers et riverains de l'aérodrome de Vannes-Meucon ou encore de pratiquants de deux centres équestres qui bruyamment déployaient des banderoles et agitaient des pancartes. Tous animés par un même slogan : « Non au technival ». Près de 500 manifestants ont profité de l'inauguration de l'école publique à Monterblanc pour exprimer leur colère aux élus venus couper le ruban tricolore. Hostiles à la rave annoncée pour le week-end du 1er juillet, ils attendaient la préfète invitée mais, en son absence, c'est le ministre François Goulard, le sénateur Josselin de Rohan, les députés Gérard Lorgeoux et Josiane Boyce et Daniel Boursicot, maire de Monterblanc, où est en fait situé l'aérodrome, qui ont été interpellés et chahutés.
« Pas de décision »

Quinze jours après la pétition, forte de 200 signatures, remise à la préfecture, la réprobation est donc montée d'un sérieux cran autour du site retenu officiellement par le ministère de l'Intérieur après la déclaration du ministre Brice Hortefeux devant le Sénat (Ouest-France de jeudi). Même si François Goulard affirme que « depuis cette annonce bien des choses ont changé, car rien n'est décidé et il n'est pas certain que la rave ait lieu. Aucun texte administratif n'indique que c'est au Morbihan de l'organiser cette année et qu'elle se déroulera le 1er juillet. C'est le Premier ministre qui décidera et il n'est d'ailleurs pas sûr qu'une décision soit prise. »

Info ou intox : les riverains craignent, eux, que la décision ne soit définitivement prise. Ils condamnent alors pêle-mêle l'action de la préfecture et de certains élus pris ouvertement à partie. Des paroles lancées hier sans retenue : « Contrairement à ses homologues de Saint-Jean-Brévélay et Josselin qui ont tout de suite bougé en allant se faire entendre auprès de la préfète, le maire de Monterblanc n'a lui rien fait à l'annonce que la rave allait avoir lieu ici. » Ou « Josselin de Rohan a réussi à sauver son secteur pour mieux repousser la décision sur Meucon. » Ou encore « François Goulard semble défendre ici les intérêts du pays de Vannes mais que fait-il à Paris quand on voit que la décision lui échappe alors qu'il est au gouvernement · Nous sommes victimes de son soutien politique à Villepin alors que c'est Sakozy qui décide pour la rave. »

La psychose et les rumeurs les plus folles commencent alors à prendre forme tout autour de l'aérodrome dans l'esprit de ceux qui n'entendent pas être « des victimes expiatoires. S'il le faut, jours et nuits nous garderons et défendrons nos terres, propriétés et activités. »

Patrick CERTAIN.

François Goulard à été directement interpellé à plusieurs reprises par les riverains de l'aérodrome de Vannes-Meucon.


lundi 12 juin 2006

L'hostilité grandit contre le teknival



Ils étaient 500 à manifester samedi à Monterblanc contre l'annonce de la rave sur l'aérodrome. Tous craignent les pires nuisances et débordements.
« J'ai 77 ans et c'est la première fois de ma vie que je manifeste. Mais je crois que cela en vaut la peine. Je n'ai pas envie de voir des milliers de raveurs déferler durant un week-end sur ce que j'ai mis des années à construire pour moi et ma famille. » Comme cette habitante de Monterblanc, ils étaient environ 500 samedi en fin de matinée à manifester bruyamment au coeur du bourg de cette commune sur laquelle est implanté l'aérodrome de Vannes-Meucon.
A l'occasion de l'inauguration de l'extension de l'école publique et du foyer-logement pour personnes âgées, ils espéraient la venue de la préfète et des élus pour leur exprimer leur hostilité à la tenue sur ce site du teknival qui doit réunir 60 000 personnes le week-end du 1er juillet. Mais la représentante de l'Etat n'a pas répondu à l'invitation, ce sont donc le ministre François Goulard, le sénateur Josselin de Rohan, les députés Gérard Lorgeoux et Josiane Boyce et le maire de Monterblanc, Daniel Boursicot, qui ont essuyé les foudres de leur colère pendant plus de deux heures (lire dimanche Ouest-France d'hier). Entre les tracteurs formant un barrage filtrant, les banderoles, les pancartes et une puissante sono qui, à sa manière, alertait les habitants de ce qu'ils risquent de connaître dans quinze jours à la puissance cent, voire plus...

Chevaux, malades et sources

Quinze jours après une première manifestation bon enfant de signatures d'une pétition par des parachutistes, des chefs d'entreprises aéronautiques, des agriculteurs et habitants riverains de l'aérodrome, samedi d'autres manifestants sont venus exprimer leur hostilité. « Nous avons interrogé les services vétérinaires départementaux pour savoir quoi faire de nos montures pendant cette rave. Entre le centre équestre de Kerbotin, celui de l'Etrier et les particuliers, ce sont environ 150 chevaux qui sont concernés. On nous a répondu que 30 boxes allaient être mis à notre disposition aux haras d'Hennebont. Pour les autres chevaux, on nous a dit de les piquer afin qu'ils n'entendent pas le bruit le temps de ce week-end ! C'est impensable, d'autant plus que certains vont disputer le championnat de France une semaine plus tard, ils présenteront alors des traces de dopage et on ne peut pas les préparer pour une compétition dans de telles conditions. Certains cavaliers travaillent ce rendez-vous depuis un an », tempête la responsable de Kerbotin.

Du côté de l'aéro-club, la colère gronde aussi. « On nous annonce que l'aérodrome pourrait être fermé dès le 23 juin. Or, nous avons une manifestation avec d'autres clubs le samedi 24 à l'occasion de la nuit la plus courte de l'année. Il faudra évacuer nos cinq avions. Cette période est celle de notre plus forte activité. Sur l'aérodrome, ce sont au total 30 salariés de l'aéronautique qui risquent d'être au chômage pendant un mois », selon le président Jean-Marie Baly.

« Je travaille au centre hospitalier spécialisé de Saint-Avé, distant de moins de cinq kilomètres à vol d'oiseau de l'aérodrome. C'est un milieu où vivent 500 patients difficiles à déplacer. Faudra-t-il les shooter davantage pour qu'ils n'entendent pas la musique · Les raveurs ne vont-ils pas venir s'intéresser à certains types de médicaments dont nous disposons · » s'interroge cet infirmier inquiet.

« Je vis avec mes chevaux à proximité d'une zone protégée de captage d'eau. J'ai des contraintes environnementales comme, par exemple, l'interdiction de surpâturer, à savoir de mettre 15 chevaux à l'hectare car leur crottin pourrait polluer les sources. Se pose-t-on cette même question avec la venue de milliers de raveurs · » questionne un riverain de l'aérodrome.

Patrick CERTAIN.



--
Ben Lagren
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